Ironiquement je trouve que la peur est bien plus puissante par l'interface d'un jeu vidéo.
(même si moi je flippe rarement).
Fatal frame / projet zero en est l'exemple parfait.
Aucun livre ou film n'arrive à la cheville d'une petite fille perdu dans un village japonais médiéval hanté, armé seulement d'un appareil photo...
sachant que c'est aussi cette arme qui révèle les fantômes, c'est une bénédiction et une malédiction.