Sebi a écrit:Amélie Nothomb est folle, mais ses romans sont vraiments droles. C'est vrai qu'il faut etre légérement misanthrope ou avoir une certaine critique de ses semblables pour etre en accord avec elle, mais qu'est ce qu'il t'empeche de les lire et de ne pas etre d'accord avec elle et d'apprécier le livre quand meme???.
Dans ce meme topic, j'ai vu du Schmitt, qui est à l'opposé de Nothomb, philanthrope. C'est de la philo grand public (ce n'est pas une critique) accessible à tout le monde. C'est peut etre cela un grand auteur, pas besoin de 15 méthaphores, allégories ou autres figures de styles pour faire passé son message....
Sinon, je voulais réagir sur le terme commercial: on dirai que lorsqu'un roman est commercial (c'est a dire qu'il a beneficié d'un bon appui de sa maison de production et des médias), il est forcement en deça par rapport à un autre roman.
Je voulais simplement dire : n'importe quoi, Da vinci code par exemple...... c'est pas un mauvais roman, il est bien ficelé, prenant, interressant... ça ne vaut pas un Céline, ok mais boycotté un roman parce qu'il est commercial, c illogique (pareil pour la zik et le ciné)
Vais pas découper tout ça, pas le temps.
1er paragraphe : en résumé tu dis :
Si je n'aime pas tel auteur (pour une raison quelconque), qu'est-ce qui m'empêche de l'aimer et de le lire.
J'avoue que ça me laisse sans voix. C'est pas mal trouvé. Euh, sinon, je précise que je ne fais que discuter, et que tout ce que j'écris de relève que d'un avis, c'est-à-dire le mien.
2ème : Ce Schmitt, je ne connais pas, et la philo supermarché, dsl, ça ne m'intéresse pas. Et puis, tout le monde, c'est qui ? Si y a pas de style, si je ne vois pas de reflexion digne de ce nom je ne suis pas intéressé.
J'ai deux critères pour choisir un roman :
Une bonne histoire ;
Le style (sauf si l'absence de style est délibérée comme chez notre ami Houellebecq...).
3ème : Les médias, m'en fous complet, j'écoute autour de moi ou je cherche par moi-même en feuilletant les bouquins.
Je ne cherche pas à être virulent, simplement, il me semblait impératif de réagir ; après libre à chacun de penser comme il l'entend...