On dit souvent que si le maître est bon et qu'il en va de même pour l'élève, l'élève, très vite devient supérieur au maître.
Nous nous apercevons donc, par cet exemple limpide
, que si le maître est nul, l'élève le devient d'autant plus.
Est-ce à dire que l'élève, s'apercevant que son maître est nul, par désespoir, en vient à se haïr lui-même, se châtiant donc avec un masochisme nonpareil, et, donc, tendant la joue aux innombrables brutes qui frappent à sa porte ? Ce serait supposer que l'élève voue une admiration sans limite à son maître... Et qu'il ne peut se supporter lui-même, percevant dans la faiblesse de son maître une lâcheté qui lui est inadmissible étant donné que celui-ci, pendant des années, incarnait la force... brute, dans sa petite tête.
Plus d'info demain, il ira dans l'arène, bordel de merde, et trois fois.
Faut vraiment être crétin pour taper avec un bouclier.
Si il perd les trois combats, analyse d'urine.
Si la vie n'a aucun sens, de le dire n'en a pas davantage.